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Meilleurs joueurs du mois de mars

En France, les joueurs du PSG sont à la tête de trois des cinq classements. Parmi les attaquants, Zlatan Ibrahimovi ? devance le jeune prodige de Toulouse Wissam Ben Yedder. A la troisième place on trouve Serge Gakpé (Nantes).

Thiago Motta devance son co-équipier Blaise Matuidi et le lillois Idrissa Gueye parmi les milieux relayeurs ou défensifs. Thiago Silva termine en tête parmi les défenseurs centraux devant Marko Bašs (Lille) et Lucas Mendes (Marseille).

Serge Aurier confirme son excellent état de forme en terminant premier parmi les défenseurs latéraux. Le toulousain devance Maxwell et son compatriote Siaka Tiéné.

Enfin, Benjamin André (Ajaccio) émerge parmi les milieux offensifs malgré le mauvais classement de son équipe. Il devance Foued Kadir (Rennes) et Grégory Sertic (Bordeaux).

L’ensemble des classements peuvent être téléchargés ici.

Nos indicateurs mesurent la productivité et l’efficacité des joueurs dans six domaines de jeu complémentaires :

Indicateurs-clé de performance de l’Observatoire du football

Finition : capacité à concrétiser les occasions de but par des tirs précis

Mise en danger : capacité à créer des occasions de but par des bonnes passes

Percussion : capacité à créer des situations dangereuses en affrontant efficacement les adversaires

Distribution : capacité à garder l’emprise sur le jeu par une bonne circulation du ballon

Récupération : capacité à minimiser les chances des adversaires par un bon travail de récupération

Rigueur : capacité à minimiser les chances des adversaires en bloquant efficacement leurs actions

Les données pour chaque domaine sont pondérées selon l’impact sur les résultats en fonction du poste. Ainsi, par exemple, la finition est plus importante pour les attaquants que pour les défenseurs, tandis que la récupération est plus importante pour les derniers que pour les premiers.

Lettre du Big-5 sur les sommes de transfert

Ce résultat reflète l’existence d’un très fort marché interne aux cinq championnats les plus compétitifs. Il montre également que le rôle redistributeur du système des transferts au bénéfice de l’ensemble de la pyramide du football est limité.

Le club ayant encaissé le plus d’argent grâce au transfert de joueurs à des clubs du big-5 est Tottenham Hotspur (322 millions d’euros), suivi de près par le Real Madrid (304 millions). Seulement cinq équipes extérieures aux cinq grands championnats européens se trouvent aux trente premières places du classement des clubs ayant généré le plus d’argent par le transfert de joueurs à des clubs du big-5 depuis 2008/09 : Porto (3ème), Palermo (12ème), Benfica (16ème), Ajax (26ème) and Portsmouth (28ème).

Par contre, de nombreuses équipes parmi les plus riches d’Europe sont classées aux 20 premiers rangs : Liverpool (4ème), Milan (5ème), Inter Milan (6ème), Arsenal (8ème), Roma (9ème), Barcelona (15ème), Manchester United (17ème), Chelsea (19ème) and Manchester City (20ème).

Si ces équipes ont aussi beaucoup investi dans le recrutement de nouveaux membres de l’effectif, ce résultat confirme que le système de transferts n’est pas en mesure de contrecarrer efficacement le déséquilibre croissant entre équipes aux échelles nationale et internationale. Ce résultat suggère également que les équipes formatrices ne sont pas suffisamment rémunérées pour leur travail formateur dans la mesure où les transferts les plus lucratifs ont cours entre les clubs les plus riches.

De plus, l’accroissement du nombre de transferts mis en exergue par l’Etude démographique 2014 de l’Observatoire du football montre que le système de transferts actuel n’est pas efficace pour lutter contre l’instabilité contractuelle. Au contraire, la mobilité des joueurs augmente dans le contexte du développement d’accords de propriété tierce des joueurs, selon lesquels des investisseurs privés acquièrent le droit à une part des sommes de transfert. Ce processus affaiblit encore davantage le rôle distributeur du système des transferts vers l’ensemble de la pyramide du football.

Notre analyse révèle qu’une réforme du système de transferts est nécessaire. Une solution efficace serait de redistribuer toute somme de transfert à l’ensemble des clubs où un joueur a évolué au cours de sa carrière, au prorata des rencontres disputées pour chaque équipe. Ce mécanisme permettrait une distribution plus équitable de l’argent des transferts à l’ensemble de la chaîne de clubs ayant aidé le joueur à développer ses compétences avant d’attirer l’intérêt des équipes les plus riches. L’Observatoire du football se tient à votre disposition pour effectuer des simulations pour différents scénarios de redistribution. Pour plus de renseignements, merci d’écrire à football.observatory@cies.ch.

Les équipes nationales sous la loupe

Le club d’emploi dont les joueurs ont disputé le plus grand nombre de minutes dans la phase de qualification est le Real Madrid, suivi par six autres équipes évoluant dans les cinq plus grands championnats européens : Barcelone, Bayern Munich, Juventus, Manchester United, Chelsea et Manchester City. Le club extérieur au big-5 le mieux classé est Zenit St-Petersburg (8ème). La première équipe non-européenne est Esteghlal FC (14ème).

Deux tiers des 30 clubs les mieux classés font partie du big-5. Au total, 48.9% des minutes ont été disputées par des joueurs sous contrat avec des équipes de première division anglaise, espagnole, italienne, allemande et française. Ce résultat reflète la forte concentration des joueurs des sélections nationales les plus performantes dans les championnats européens les plus compétitifs.

Tous les pays ont aligné au moins un joueur sous contrat avec un club du big-5. Cependant, le pourcentage de minutes jouées par des footballeurs évoluant dans les meilleurs championnats européens est inférieur à 25% pour sept nations : Australie, Costa Rica, Equateur, Honduras, Iran, Corée du Sud et Russie. Ces sélections auront probablement du mal à se qualifier pour les huitièmes de finale.

Nous espérons que les statistiques présentées dans la 2014 World Cup Preview vous intéresseront et nous restons à votre disposition pour des analyses complémentaires à l’adresse football.observatory@cies.ch.

101 nationalités représentées dans le big-5

La France est le pays avec le plus grand nombre de joueurs nés sur son sol utilisés par des clubs des cinq grands championnats depuis le début de la saison : 440. Parmi eux, 333 ont joué en Ligue 1 et 107 dans les autres championnats du big-5. Les Français sont bien représentés dans l’ensemble de ces ligues : 45 en Premier League anglaise, 29 en Liga espagnole, 23 en Serie A italienne et 10 en Bundesliga allemande.

Le plus gros contingent de joueurs nés en dehors de la France dans les clubs de Ligue 1 est originaire du Brésil (20 joueurs). Derrière le Brésil, on trouve la Côte d’Ivoire (14), le Cameroun (12) et le Sénégal (12).

La semaine prochaine nous allons présenter des statistiques inédites tirées de notre 2014 World Cup Preview à venir. Pour plus de renseignements à propos de cette publication, merci d’écrire à football.observatory@cies.ch

Meilleurs joueurs du mois de février

En France, à côté de l’inévitable Zlatan Ibrahimovi ? parmi les attaquants, les joueurs les plus productifs en février ont été Grégory Sertic parmi les milieux offensifs, Geoffrey Kondogbia parmi les mileux défensifs ou relayeurs, Gregory van der Wiel parmi les défenseurs latéraux et Loïc Perrin parmi les défenseurs centraux.

Dans les autres championnats, à la tête des classements par poste on trouve les joueurs suivants (en gras les joueurs avec passeport français) :

Angleterre : Daniel Sturridge, Juan Mata, Yaya Touré, Leighton Baines, Phil Jagielka

Espagne : Lionel Messi, Andrés Iniesta, Sergio Busquets, Adriano Correia, Aymeric Laporte

Germany : Mario Mandžuki ?, Mario Götze, Thiago Alcântara, Márcio Rafinha, Nikol ?e Noveski

Italy : Luca Toni, Marek Hamšík, Andrea Pirlo, Abdoulaye Konko, Mehdi Benatia

Nos indicateurs mesurent la productivité et l’efficacité des joueurs dans six domaines de jeu complémentaires :

Indicateurs-clé de performance de l’Observatoire du football

Finition : capacité à concrétiser les occasions de but par des tirs précis

Mise en danger : capacité à créer des occasions de but par des bonnes passes

Percussion : capacité à créer des situations dangereuses en affrontant efficacement les adversaires

Distribution : capacité à garder l’emprise sur le jeu par une bonne circulation du ballon

Récupération : capacité à minimiser les chances des adversaires par un bon travail de récupération

Rigueur : capacité à minimiser les chances des adversaires en bloquant efficacement leurs actions

Les données pour chaque domaine sont pondérées selon l’impact sur les résultats en fonction du poste. Ainsi, par exemple, la finition est plus importante pour les attaquants que pour les défenseurs, tandis que la récupération est plus importante pour les derniers que pour les premiers.

Nous vous rappelons également que l’édition 2014 de notre Etude démographique est désormais disponible.

Nouvelle édition de la Lettre du Big-5

A l’échelle des ligues, ce sont les clubs italiens qui recrutent les joueurs les plus âgés (25,5), soit en moyenne deux ans de plus que les clubs allemands (23,2).
Au total, quatre clubs alignent des joueurs qui sont arrivés en moyenne après l’âge de 27 ans : Levante (27,6), Elche (27,2), Bastia et West Ham (27,0). Inversement, la Real Sociedad (21,5), le FC Barcelone (21,6) et Liverpool (21,9) utilisent des joueurs qui ont été recrutés avant 22 ans.
Les données pour l’ensemble des clubs sont présentées dans la 64ème Lettre du Big-5 disponible ici. Pour plus de renseignements, merci de nous contacter à football.observatory@cies.ch

Lettre du Big-5 sur les débutants

Parmi les joueurs ayant foulé les pelouses de Ligue 1 après le 1er janvier n’ayant jamais évolué dans le big-5 auparavant on trouve des footballeurs de 10 clubs (avec un maximum de trois pour Rennes et Sochaux). A l’échelle du big-5, le débutant le plus jeune jusqu’ici est Nahuel Leiva (Villarreal), 17 ans, alors que le plus âgé est Nagore Gómez (Levante), 33 ans.

La liste de tous les débutants se trouve dans la 62ème édition de la Lettre du Big-5. Nous sommes à votre disposition pour plus de renseignements à l’adresse
football.observatory@cies.ch.

Joueurs les plus performants du mois de janvier dans le big-5

Notre analyse montre que les joueurs les plus performants par poste en Ligue 1 ont été Zlatan Ibrahimovi ? (attaquant), Mathieu Valbuena (milieu offensif), Thiago Motta (milieu central/défensif), Maxwell Scherrer (défenseur latéral) et Loïc Perrin (défenseur central). Plus de résultats sont disponibles dans le 61ème numéro de la Lettre du Big-5.

Nos indicateurs mesurent la productivité et l’efficacité des joueurs dans six domaines de jeu complémentaires (voire l’explication ci-dessous). Les données pour chaque domaine sont pondérées selon l’impact sur les résultats en fonction du poste. Ainsi, par exemple, la finition est plus importante pour les attaquants que pour les défenseurs, tandis que la récupération est plus importante pour les derniers que pour les premiers.

De plus, tous les indicateurs sont comparables à l’échelle internationale dans la mesure où ils sont calculés en prenant en compte les différences entre ligues au niveau du style de jeu et de l’intensité des rencontres. Notre méthodologie est donc de plus en plus utilisée par les clubs professionnels les plus compétitifs pour comparer les joueurs à disposition avec de nouvelles recrues potentielles.

Nous vous rappelons également que l’édition 2014 de notre Etude démographique est désormais disponible. L’Observatoire du football va aussi participer à la première édition de l’OptaPro Analytics Forum qui aura lieu jeudi à Londres. Roger Besson et Raffaele Poli vont présenter un poster sur la lutte contre la relégation en Premier League anglaise.

Indicateurs-clé de performance de l’Observatoire du football

Finition : capacité à concrétiser les occasions de but par des tirs précis

Mise en danger : capacité à créer des occasions de but par des bonnes passes

Percussion : capacité à créer des situations dangereuses en affrontant efficacement les adversaires

Distribution : capacité à garder l’emprise sur le jeu par une bonne circulation du ballon

Récupération : capacité à minimiser les chances des adversaires par un bon travail de récupération

Rigueur : capacité à minimiser les chances des adversaires en bloquant efficacement leurs actions

Lettre du Big-5 sur les sommes de transfert

A l’échelle des clubs, l’équipe ayant le plus investi pour engager ses joueurs actuels est Real Madrid (536 millions d’euros), devant Manchester City (435) et Manchester United (395). Dans les ligues restantes, en tête de classement on trouve Paris St-Germain (366), Bayern Munich (233) et Juventus (214). A l’opposé, dix clubs ont dépensé moins de 3 millions d’euros pour réunir leur effectif actuel, dont Guingamp, Bastia et Ajaccio.

Pour plus de renseignements sur l’Observatoire du football du CIES, merci de nous écrire à football.observatory@cies.ch. Nous vous rappelons également de la toute nouvelle Etude démographique 2014 est disponible en libre téléchargement sur notre site.

Lettre du Big-5 sur les clubs formateurs

En tête de classement il y a le FC Barcelone, avec 44 joueurs formés, dont 16 évoluant toujours au club. En France, à la première place on trouve l’Olympique Lyonnais (31 joueurs formés évoluant dans le big-5), juste devant le Stade Rennais (28).

Cette publication coïncide avec celle de notre Etude démographique 2014 couvrant 31 championnats de première division de pays membres de l’UEFA. Un extrait peut être téléchargé gratuitement ici.

Pour plus de renseignements, merci de nous contacter à l’adresse football.observatory@cies.ch

Etude démographique 2014 : moins de joueurs formés dans le club en Europe

L’étude montre que le football professionnel en Europe est toujours confronté à des processus qui ne sont pas forcément réjouissants pour son avenir. La prépondérance des préoccupations économiques sur les logiques sportives est flagrante dans de nombreux clubs et pays. D’une manière générale, le nombre de transferts réalisés par les équipes n’a jamais été aussi élevé que lors de la saison en cours. Une tendance difficile à comprendre dans un contexte marqué par de nombreux problèmes financiers.

La spéculation croissante autour du transfert des joueurs est aussi visible à travers la baisse progressive de joueurs formés dans le club, qui a atteint son minimum historique depuis 2009. A l’opposé, le pourcentage de joueurs expatriés a augmenté pour la deuxième année consécutive. Dans ce cas aussi, il n’avait jamais été aussi élevé que lors de la saison en cours.

Pour acheter la publication, cliquer ici

Pour plus de renseignements ou demander un rabais (journalistes, étudiants, académiques), merci d’écrire à football.observatory@cies.ch

Chiffres-clé

  • Malgré l’introduction de règlements dans de nombreux pays et au niveau des compétitions organisées par l’UEFA, la présence relative de footballeurs jouant pour le club où ils ont été formés n’a jamais été aussi faible : 21,2%.
  • Le pourcentage de joueurs expatriés a atteint un nouveau record lors de cette saison : 36,8%. De plus, la proportion de footballeurs ayant déjà migré internationalement au cours de leur carrière n’a aussi jamais été aussi élevée que durant cette saison : 49,3%.
  • La Premier League anglaise est le deuxième championnat ayant le plus fort pourcentage d’expatriés (60,4%), juste après Chypre. Les expatriés représentent aussi la majorité des effectifs en Italie, Turquie, Portugal et Belgique. La plus forte proportion a été observée à l’Inter Milan (89%).
  • Si le Brésil reste l’origine étrangère la plus représentée, le nombre de joueurs brésiliens a diminué de 67 unités depuis 2009 : de 538 à 471. La France est le deuxième pays ayant le plus grand nombre de représentants à l’étranger. Le nombre d’expatriés français est passé de 247 à 306 lors des cinq dernières saisons.
  • Un nouveau record a aussi été enregistré par rapport au nombre de joueurs nouvellement transférés. En moyenne, les joueurs recrutés à partir de janvier 2013 représentent 41,3% des effectifs des équipes de première division analysées (10,2 nouveaux transferts par club)
  • Le nombre de transferts est beaucoup plus élevé en Europe du Sud et de l’Est que dans la zone septentrionale du continent. Chypre est en tête du classement du plus grand nombre de joueurs recrutés (en moyenne 14,1 par club). Cette valeur n’est que de 5,3 en Suède.
  • Les ligues italienne et anglaise ont les effectifs les plus pléthoriques (26,8 joueurs par club en moyenne). Les clubs italiens regroupent aussi les joueurs les plus âgés (27,3 ans) et le plus faible pourcentage de joueurs formés au club (8,4%)
  • La Bundesliga allemande réunit les joueurs les plus grands (183,8 cm), alors que la Liga espagnole est en moyenne composée par les footballeurs les plus petits (180,1 cm). Barcelone dispose du deuxième effectif le plus petit d’Europe (177,4 cm) après celui de Bnei Sakhnin (Israël).
  • Le plus fort pourcentage de joueurs ayant disputé des matchs dans des sélections nationales A en 2013 a été enregistré en Angleterre (44,3%). A l’échelle des clubs, les plus grandes proportions d’internationaux actifs ont été mesurées à Chelsea (80%), Manchester City (76%) et Fenerbahçe (72%).
  • Barcelone dispose de l’effectif le plus stable d’Europe. En moyenne, les joueurs du club catalan sont en moyenne présents dans l’effectif de la première équipe depuis 5,5 ans. La permanence moyenne des joueurs est supérieure à 5 ans dans un seul autre club : Manchester United.
  • Enfin, l’étude de l’Observatoire du football confirme l’excellent travail en matière de formation accompli par l’Ajax Amsterdam. Le club batave a formé 69 joueurs évoluant dans des clubs européens de première division. Ajax devance dans ce classement le Partizan Belgrade, Barcelone, Hajduk Split et le Sporting Lisbonne.

Nouvelle Lettre du Big-5 sur la rotation de joueurs

Alors que le pourcentage de minutes jouées par les 11 joueurs les plus alignés par les équipes actuellement sur le podium de leur ligue respective est de 77,6%, cette valeur n’est que de 71.9% pour les clubs reléguables. Notre analyse suggère ainsi que les mauvais résultats encouragent les entraîneurs à changer plus fréquemment la composition de leur équipe. Plutôt qu’améliorer les performances, cette stratégie contribue souvent à aggraver la situation.

A l’échelle des clubs, les plus faibles niveaux de rotation ont été enregistrés à Borussia Mönchengladbach (88,6% des minutes de championnat disputées par les 11 joueurs les plus utilisés), Atlético Madrid (86,1%) et Lille (84,3%). A l’opposé, les équipes avec les effectifs les moins stables sur le terrain ont jusqu’ici été Catania (61,6%), Valence (64,0%), Real Betis (64,5%) et Ajaccio (64,8%).

Mardi prochain, la 59ème édition de la Lettre du Big-5 présentera des données exclusives tirées de l’Etude démographique 2014 de l’Observatoire du football du CIES.

Pour plus de renseignements, merci de nous contacter à football.observatory@cies.ch

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