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L’Observatoire du football CIES lance son premier e-book : Football Analytics

Chaque mois depuis janvier 2015, l’Observatoire du football CIES a publié des rapports pour informer les parties prenantes du football et toutes les personnes passionnées de ce sport à propos des dernières tendances observées sur un plan sportif, démographique et économique. Pour la première fois, les contributions rédigées lors de la saison 2017/18 ont été regroupées dans un livre numérique : Football Analytics (disponible seulement en anglais).

De plus, lors des douze derniers mois, nous avons beaucoup travaillé pour développer des nouveaux contenus permettant aux utilisateurs de notre site d’élargir leurs connaissances sur le football. Les outils suivants sont disponibles gratuitement :

Comparateur du profil des joueurs (big-5)
Evolution des valeurs de transfert (big-5)
Classements de performance des joueurs (big-5)
Classement de performance des clubs (35 championnats)
Atlas digital (31 premières divisions européennes)

La publication des Lettres hebdomadaires va recommencer après la pause estivale. Le prochain Rapport Mensuel sera publié juste après la fin de la période des transferts. Il va analyser les tendances du marché dans une perspective économique. Pendant l’été, des informations exclusives seront présentées par le biais de notre compte Twitter et page Facebook.

Pour plus de renseignements sur les opportunités de sponsoring, merci d’écrire à football.observatory@cies.ch.

Analyse de cinq ligues de football féminines

La 36ème édition du Rapport Mensuel de l’Observatoire du football CIES analyse la composition des effectifs dans cinq championnats féminins parmi les plus développés de la planète : quatre européens (Allemagne, Suède, France et Angleterre), ainsi que la National Women’s Soccer League états-unienne. L’étude met en exergue l’accroissement de l’âge des joueuses et du nombre des expatriées.

Le développement et professionnalisation du football féminin s’accompagnent de différents processus déjà observés chez les hommes. Une convergence existe notamment au niveau de l’âge. Même si en moyenne toujours plus jeunes que leurs collègues masculins, les femmes évoluant dans les ligues analysées deviennent progressivement plus âgées. Jusqu’à une certaine limite, ce processus va probablement se poursuivre dans les années à venir.

Une deuxième évolution notable est l’augmentation de la présence de joueuses expatriées. Bien que toujours en dessous des niveaux observés dans les ligues masculines les plus compétitives, le nombre d’expatriées dans les meilleurs championnats féminins est en hausse. Dans ce cas aussi, une nouvelle augmentation est attendue dans les prochaines années. La diversité des origines représentées devrait aussi s’accroître.

Enfin, comme pour le football des hommes, sans mesures correctives, les écarts financiers entre clubs tant à l’échelle nationale qu’internationale vont augmenter. Le développement économique du football féminin va en effet bénéficier à certaines équipes et championnats bien plus qu’à d’autres. La forte concentration des joueuses internationales dans certains clubs (Wolfsbourg, Lyon, Chelsea, Bayern Munich, etc.) illustre d’ores et déjà ce processus.

Coupe du Monde : la France a l’effectif potentiellement le plus cher

La dernière Lettre hebdomadaire avant la pause estivale classe les équipes participantes à la Coupe du Monde selon la valeur de transfert des joueurs sélectionnés, estimée à partir de l’algorithme de l’Observatoire du football CIES. Aux trois premières places il y a la France (€1,41 milliards), l’Angleterre (€1,39 milliards) et le Brésil (€1,27 milliards).

Les évaluations font référence au juste prix que les acheteurs potentiels devraient payer pour recruter les joueurs. Les performances sportives tant des joueurs que de leurs clubs d’appartenance sont inclus dans l’algorithme. De plus, d’autres variables comme l’âge et la durée de contrat sont prises en compte, comme spécifié dans cette note de recherche.

La valeur de transfert de l’ensemble des joueurs qui prendront part à la Coupe d Monde est de €12.6 milliards. En queue de classement, il y a trois pays non-européens avec très peu de joueurs employés dans des clubs des ligues les plus compétitives : Panama, Arabie Saoudite et Iran. La Coupe du Monde va probablement permettre à certains d’entre eux de se faire repérer par des équipes plus huppées. Les valeurs de transfert pour l’ensemble des joueurs du big-5 sont disponibles ici.

Nouveau classement des 100 joueurs avec les plus hautes valeurs de transfert

Harry Kane est devenu le joueur le plus cher au monde du point de vue de la valeur de transfert selon l’algorithme de l’Observatoire du football CIES. Après une nouvelle saison, l’Anglais a vu sa valeur atteindre €201,2 millions. L’attaquant de Tottenham devance deux joueurs de Paris St-Germain : Neymar (€197,5 m) et Kylian Mbappé (€186,5 m). Le top 100 des valeurs pour les joueurs du big-5 est disponible dans la Lettre hebdomadaire n°230.

Des joueurs originaires de six pays sont présents aux dix premiers rangs : Angleterre (Kane et Alli), Belgique (de Bruyne et Lukaku), Argentine (Messi et Dybala), France (Mbappé et Griezmann), Brésil (Neymar) et Egypte (Salah). Avec 16 joueurs, la France est le pays le plus représenté dans le top 100. Gianluigi Donnarumma (73ème, €67,5 m) est le plus jeune footballeur dans la liste, tandis que Cristiano Ronaldo est le plus âgé (24ème, €103,4 m).

Les valeurs les plus élevées par poste ont été enregistrées pour Ederson Moraes (gardiens, €104,6 m), Samuel Umtiti (défenseurs centraux, €111,5 m), Kyle Walker (défenseurs latéraux, 89,8 m), Saúl Ñíguez (milieux défensifs, €100,5 m), Kevin de Bruyne (milieux relayeurs, €167,2 m), Dele Alli (milieux offensifs, €171,0 m), Neymar (ailiers, €197,5 m) et Harry Kane (attaquants de pointe, €201,2 m). Plus de renseignements sur l’algorithme de l’Observatoire du football CIES sont disponibles ici.

Indice de production : classements virtuels de la saison du big-5

Avec la fin des cinq grands championnats, le numéro 229 de la Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES compare le rang de chaque équipe avec la position dans un classement virtuel élaboré sur la base d’un indice de production. Celui-ci prend en compte trois critères-clé de performance (données InStat) : les tirs concédés ou tentés depuis la surface, ainsi que le pourcentage de possession.

Trois des cinq champions ont aussi été les clubs les plus productifs : Bayern Munich (+94% par rapport à la moyenne de la Bundesliga), Paris St-Germain (+84%) et Manchester City (+82%). En Espagne, l’indice de production de Real Madrid (+61%) a été supérieur à celui de Barcelone (+52%). En Italie, Naples (+59%) devance les champions de Juventus (+38%).

En Ligue 1, l’écart le plus positif entre la place dans le classement réel (13ème) et le rang dans celui de la production (20ème) a été mesuré pour Amiens (+7). St-Étienne (+6), Nantes (+5) et Dijon (+5) ont aussi été particulièrement efficaces. À l’opposé, Caen (-5), Angers (-4) et Guingamp (-4) n’ont pas été bien payés. Les analyses pour plus de ligues sont présentées depuis le compte Twitter de l’Observatoire.

Protection de données et nouveaux outils

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Nous profitons de l’occasion pour vous signaler ces trois outils exclusifs disponibles gratuitement sur notre site :

Evolution des valeurs de transfert

Comparateur de profils

Classements de performance

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