logo Football Observatory  
FRA |

Nouvelle étude : profilage démographique du football européen

Le groupe de recherche de l’Observatoire du football CIES est heureux d’annoncer la publication de son 79ème Rapport Mensuel portant sur le profil démographique des joueurs, clubs et ligues à travers l’Europe. En 2022, des nouveaux records ont été enregistrés en ce qui concerne la part de footballeurs expatriés dans les équipes (42,3%) et, négativement, de celle des joueurs formés au club (17,0%). Dans les deux cas, l’inversion de tendance observée suite à la pandémie n’aura donc été qu’un feu de paille.

L’échantillon analysé comprend 12’281 joueurs actifs au sein des 477 clubs de 31 premières divisions d’associations membres de l’UEFA. Le portait-type du footballeur recensé est celui d’un homme de 26 ans, mesurant un peu plus de 182 cm, présent dans la première équipe de son club d’emploi depuis deux ans et trois mois et ayant dans presque six cas sur dix déjà connu une expérience à l’étranger pendant sa carrière.

Un nouveau record dans le taux de joueurs importés a notamment été battu en Ligue 1 française (41,9%), où la part de joueurs formés au club a aussi atteint un minimum historique (14,3%). Ces résultats traduisent des stratégies de composition des effectifs de plus en plus axées sur le « trading » de joueurs plutôt que sur leur promotion depuis les filières de formation.

Trois ligues du big-5 présentent les effectifs les plus stables : la Premier League avec en moyenne 3,1 ans de permanence moyenne des joueurs au sein de l’effectif de la première équipe du club d’emploi, la Bundesliga (3,0 ans) et la Liga (2,9 ans). La Ligue 1 n’est que onzième (2,3 ans). La plus longue permanence par club a été enregistrée pour les derniers vainqueurs de la Ligue des champions, Real Madrid (5,1 ans), ce qui confirme l’importance de planifier à long terme pour optimiser les résultats.

>>> Accédez à tous les Rapports Mensuels

Valeurs de transfert des U25 hors big-5

La 396ème Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES présente les 100 joueurs évoluant en dehors du big-5 n’ayant pas encore fêté leurs 25 ans avec les plus hautes valeurs de transfert estimées. Trois joueurs sortent du lot avec des valeurs d’environ €60 millions : le milieu argentin de Benfica Enzo Fernández, l’attaquant néerlandais de PSV Eindhoven Cody Gakpo et le gardien portugais de Porto Diogo Costa.

Un seul autre joueur a une valeur estimée à plus de €50 millions : le défenseur central portugais Gonçalo Inacio (Sporting CP). Les plus hautes valeurs de transfert pour des joueurs évoluant en dehors d’Europe ont été enregistrées pour des Brésiliens : Yuri Alberto (Corinthians, €30 millions), Danilo Oliveira (Palmeiras, €29 m) et Marcos Leonardo (Santos, €28 m). Quinze ligues sont représentées dans le top 100, avec un maximum de 21 joueurs pour l’Eredivisie néerlandaise.

Les valeurs ont été estimées sur la base d’un modèle statistique développé par l’équipe de recherche de l’Observatoire du football CIES à partir de presque 5’000 transferts payants intervenus lors de la dernière décennie. Un article scientifique expliquant la démarche est disponible en libre accès. Les estimations pour plus de 15’000 joueurs d’une cinquantaine de ligues du monde entier sont accessibles à travers une plateforme payante. N’hésitez pas à nous contacter à ce propos.

PSG sur le podium des onze de départ les plus chers

La 395ème édition de la Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES révèle que Manchester City a aligné jusqu’ici les compositions de départ les plus chères du point de vue des coûts de transfert. En moyenne, un onze de base des Citizens en Premier League se composent de joueurs pour lesquels le club a investi €605 millions en indemnités de transfert. Paris St-Germain se classe deuxième (€510 millions). Les chiffres comprennent les éventuels bonus indépendamment de leur payement effectif.

Les onze de départ les plus cher dans l’absolu a été aligné par Manchester City lors de la victoire 3-1 contre Brighton & Hove le 22 octobre dernier : €726m. Le maximum pour Paris St-Germain a été en revanche mesuré le 16 octobre lors de la victoire 1-0 contre l’Olympique de Marseille : €610m (dont presque deux tiers pour le duo Neymar Jr et Kylian Mbappé). Le minimum a par contre été enregistré le 8 octobre lors du match nul contre le Stade de Reims : €332 millions.

Real Madrid (€370m), Juventus (€300m) et Bayern Munich (€294m) présentent les valeurs les plus élevées pour les autres ligues du big-5. Par compétition, la moyenne des dépenses en indemnités de transfert pour recruter les onze de départ est de €233m en Premier League, €83m en Serie A, €76m en Liga, €72m en Bundesliga et €65m en Ligue 1 (€41m sans Paris St-Germain). Plus d’informations via nos comptes sur les réseaux sociaux : Twitter, Instagram, Facebook et TikTok.

Meilleurs formateurs des joueurs basés en Europe

Le numéro 394 de la Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES présente les classements des équipes ayant formé le plus de footballeurs actifs dans 31 premières divisions d’associations membres de l’UEFA, ainsi que, respectivement, dans le big-5. Les clubs formateurs sont ceux où les joueurs ont évolué pendant au moins trois ans entre les saisons de leur 15ème et 21ème anniversaire. Les 31 ligues couvertes correspondent à celles disponibles dans l’Atlas démographique.

Ajax est en tête de liste au niveau des joueurs des 31 ligues (85) devant Benfica (73) et Dinamo Kiev (72), tandis que Real Madrid (43) devance Barcelone (38) et le duo Paris St-Germain et Olympique Lyonnais pour les footballeurs du big-5 (34). Stade Rennais (23 formés, 9ème) est le seul autre club français dans le top 10 des équipes ayant formé le plus de joueurs présents dans le big-5, alors que PSG est le mieux classé au niveau des footballeurs des 31 premières divisions (56, 11ème).

La Lettre présente aussi un Indice de formation, calculé en pondérant le nombre de joueurs formés par club avec leur capital expérience. Cette dernière métrique combine les minutes jouées dans des rencontres officielles lors de la dernière année et le niveau d’expérience de tous les joueurs ayant participé à ces matchs. Ajax et Real Madrid sont en tête ici aussi, avec l’Olympique Lyonnais premier club français tant les footballeurs du big-5 (4ème rang général) que pour ceux des 31 ligues (7ème).

Les joueurs pris en compte faisaient partie de l’effectif de la première équipe des clubs analysés au 1er octobre. Ils devaient aussi avoir joué en championnat lors de la saison en cours ou, le cas échant, avoir disputé des rencontres dans des ligues adultes lors de chacune des deux saisons précédentes (équipes B non comprises). Les deuxièmes et éventuels troisièmes gardiens ont été inclus dans tous les cas. Les listes des joueurs formés pour un maximum de trois clubs sont disponibles gratuitement sur demande.

Âge de recrutement : du Real Madrid à Chelsea

Les clubs poursuivent différentes politiques en termes d’âge auquel les joueurs sont recrutés. Le numéro 393 de la Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES analyse de ce point de vue 3’337 transferts effectués pendant les dix dernières saisons par les 50 clubs toujours présents dans le big-5 lors de cette période. Les valeurs s’étendent de 22,87 ans à peine pour Real Madrid à un maximum de 26,71 ans pour Chelsea.

Trois équipes de Ligue 1 figurent parmi les dix ayant en moyenne engagé les recrues les plus jeunes : OGC Nice (23,73 ans, quatrième), LOSC Lille (23,88 ans, cinquième) et l’AS Monaco (24,22 ans, neuvième). LOSC Lille pointe même en tête en ce qui concerne la part de joueurs recrutés à l’âge de 21 ans ou moins : 34,5%. Les Lillois devancent dans ce cas Monaco (29,6%) et Bayer Leverkusen (27,6%). L’Olympique de Marseille (cinquième) et Nice (sixième) figurent aussi dans le top dix.

À l’opposé, Paris St-Germain est le club hexagonal ayant le plus ciblé son recrutement sur des joueurs expérimentés : 25,93 ans en moyenne, onzième valeur la plus élevée. Avec seulement 8% de ses recrues engagées à 21 ans ou moins, le FC Nantes est par contre le club français ayant le moins ciblé des jeunes talents pour renforcer son effectif. Des informations détaillées sur la méthode utilisée et plus d’analyses sont disponibles dans le tout nouveau Rapport Mensuel du mois d’octobre.

>>> Consultez la Lettre hebdomadaire

>>> Consultez le Rapport Mensuel

Chances de but : l’Allemagne brille, la France ça va

Le 392ème numéro de la Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES classe 74 ligues dans le monde par rapport au nombre de chances de but par match enregistré par InStat lors de l’année civile en cours. La Bundesliga allemande est en tête de classement avec en moyenne 12,96 opportunités claires de marquer par rencontre, tandis que la Serie B brésilienne ferme la marche (8,41).

La valeur mesurée pour la Ligue 1 française (11,56) se situe en dessus de la moyenne mondiale (10,51), mais en dessous de celle des championnats du big-5 (11,82). La Ligue 2 fait par contre figure de mauvaise élève avec seulement 9,56 chances de but par match, le dix-septième niveau le plus faible parmi les 74 compétitions analysées. La deuxième division hexagonale est encore plus mal classée en ce qui concerne le nombre de buts par match : 63ème avec 2,36 (moyenne générale de 2,61).

Avec 2,86 buts par rencontre disputée en 2022, la Ligue 1 enregistre par contre la deuxième valeur la plus élevée dans le big-5, juste derrière celle mesurée en Bundesliga (3,04). La première division française détient le record du nombre de buts sur penalty par rencontre parmi les cinq grands championnats européens : 0,29. Les valeurs s’étendent dans ce cas de 0,41 pour le premier niveau de compétition russe à 0,13 en deuxième division japonaise.

>>> Consultez la Lettre

Jeu de passes : City le plus, PSG le mieux

La 391ème édition de la Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES analyse les données InStat sur les passes pour 1’226 équipes de 71 compétitions à travers le monde. Manchester City est en tête avec 754 passes tentées par match de championnat. Quatrième en termes de nombre de passes, Paris St-Germain est premier en ce qui concerne le pourcentage de passes réussies : 91,3%.

En Ligue 1 française, la quantité de passes par rencontre s’étend de 693 pour Paris St-Germain à 356 pour Stade de Reims. En Ligue 2, ces valeurs vont de 567 pour Le Havre AC à 404 pour Valenciennes. D’importantes différences existent aussi dans les autres compétitions analysées, les valeurs minimales à l’échelle mondiale et du big-5 ayant été enregistrées pour les Saoudiens d’Al-Batin FC (en moyenne 199 passes par match) et les Espagnols de Getafe (329).

Au niveau de la réussite, Paris St-Germain devance deux autres très grands clubs : Manchester City (90,8%) et Real Madrid (90,0%). La Lettre présente aussi la distribution des passes entre l’avant (angle de 90°), l’arrière (idem) et les côtés. Pour la Ligue 1, les pourcentages les plus élevés ont été enregistrés pour l’AC Ajaccio en ce qui concerne les passes vers l’avant (39,2%), LOSC Lille et RC Strasbourg pour celles en arrière (16,8%), ainsi que pour PSG au niveau des passes latérales (58,1%).

>>> Consultez la Lettre

Équipes les plus jeunes : 60 ligues dans le monde

La 390ème édition de la Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES classe les clubs de 60 ligues dans le monde (sans équipes B) selon l’âge moyen des compositions alignées lors de la saison en cours ou la dernière terminée. Valencia est en tête de liste en ce qui concerne le big-5 (23,99 ans en moyenne), tandis que la valeur la plus faible pour la Ligue 1 française a été enregistrée pour Stade de Reims (24,83 ans, sixième rang).

Deux autres clubs de Ligue 1 sont dans le top 10 : Monaco (septième) et Toulouse (neuvième). À l’opposé, l’AC Ajaccio (28,95 ans) a aligné les quatrièmes compositions les plus expérimentées du big-5 derrière Bochum, Séville et l’Inter. Barcelone est premier en ce qui concerne le pourcentage de minutes de championnat disputées par des joueurs de 21 ans ou moins (29,5%). À ce niveau, les valeurs de la Ligue 1 varient entre 27,6% pour Montpellier (troisièmes) et 0,4% à peine pour Stade Brestois.

Les Danois du FC Nordsjælland pointent en tête à l’échelle de tous les clubs tant au niveau de l’âge moyen sur le terrain (22,31 ans) que du pourcentage de minutes disputées par des footballeurs de 21 ans ou moins (73,7%). Les Algériens de Paradou AC sont très bien positionnés dans les deux classements : deuxièmes pour le temps de jeu des U21 (59,6%) et cinquièmes pour l’âge moyen des compositions alignées (22,88 ans). Un très bel héritage laissé par la collaboration avec JMG Football.

>>> Lettre hebdomadaire

Manchester United en tête des clubs qui surpayent

La 389ème Lettre hebdomadaire évalue les opérations de transfert payantes conclues par les clubs actuellement dans le big-5 depuis juillet 2012. L’étude compare les valeurs des joueurs avant le transfert, estimées à partir du modèle statistique de l’Observatoire du football CIES, et les sommes effectivement payées. Ceci nous permet de mettre en exergue les clubs ayant le plus tiré l’inflation vers le haut, avec Manchester United en tête.

L’investissement total de Manchester United pour les 33 transferts payants évalués dans l’étude dépasse de €238 millions la valeur estimée des joueurs concernés : €1,59 vs €1,36 milliards (+18%). Juventus (€233 M, +29%) et Paris St-Germain (€162M, +19%) complètent le podium des clubs sur-payeurs. Stade Rennais est le seul autre club français dans le top 10 (huitième), tandis que Strasbourg et Toulouse présentent les meilleurs bilans parmi les équipes actuellement en Ligue 1.

Seuls trois clubs de Premier League figurent parmi les 36 équipes ayant investi moins d’argent que prévu pour finaliser les transactions évaluées, ce qui confirme leur rôle-clé dans l’inflation observée sur le marché des transferts. Les opérations conclues par le biais de clauses ou options d’achat n’ont pas été incluses dans l’échantillon analysé. Seuls 86 clubs du big-5 pour lesquels nous avons été à même d’évaluer au moins dix transferts payants figurent dans le classement.

U25 les plus impactants au monde

Le numéro 388 de la Lettre hebdomadaire présente les dix plus hautes valeurs Impact Score parmi les footballeurs n’ayant pas encore fêté leur 25ème anniversaire pour chacun des quinze profils techniques identifiés par l’approche par rôle de l’Observatoire du football CIES. Les scores les plus élevés dans l’absolu (100/100) ont été enregistrés pour Alessandro Bastoni (bloqueur distributeur), Éder Militão (bloqueur pur), Jules Koundé (bloqueur air ratisseur) et Vinícius Júnior (percuteur créateur).

L’Impact Score est une métrique exclusivement développée par l’équipe de recherche de l’Observatoire du football CIES pour évaluer l’accomplissement et potentiel sportif des joueurs. Il est calculé à partir du niveau moyen des matchs disputés selon la méthode du capital expérience, le minutage dans des rencontres officielles lors des 365 derniers jours, ainsi que les performances de jeu comparées à celles des co-équipiers, adversaires et joueurs du même profil.

L’approche par rôle utilisée pour déterminer les profils techniques classe les joueurs selon leur niveau d’implication dans huit domaines de jeu par rapport à leurs co-équipiers : défense dans les airs, défense au sol, récupération, distribution, percussion, mise en danger, attaque dans les airs et finition.

Un outil exclusif, alimenté par les données InStat, affichant le profil technique des joueurs du big-5, leur niveau de performance, âge, situation contractuelle, valeur de transfert estimée et des potentiels remplaçants au profil proche parmi les footballeurs actifs dans 59 ligues dans le monde est accessible gratuitement ici. Une version premium est disponible pour les professionnels. N’hésitez pas à nous contacter pour plus de renseignements.

Effectifs les plus chers : PSG descend du podium

La 387ème édition de la Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football classe les équipes du big-5 selon les indemnités de transfert investies pour recruter les joueurs actuellement dans leur effectif. Manchester City devance leurs rivaux citadins de Manchester United, tandis que Chelsea ravit la troisième place à Paris St-Germain.

Les clubs de Manchester sont les seuls du monde ayant dépensé plus d’un milliard d’euros pour assembler leur effectif (bonus inclus indépendamment de leur payement effectif). Paris St-Germain possède l’effectif le plus chèrement payé en Ligue 1 (€847 millions), Real Madrid dans la Liga (€721 M), Bayern Munich en Bundesliga (€499 M) et Juventus en Serie A (€473 M). Les données pour 2020/2021 sont disponibles ici.

Le Rapport Mensuel du mois septembre présente des analyses financières supplémentaires sur les transferts du big-5. Il révèle notamment que Manchester United présente le bilan le plus négatif sur les opérations de transfert intervenues lors de la dernière décennie (-€1.27 milliards), suivi par Manchester City (€902 millions) et Paris St-Germain (€868 M). LOSC Lille est par contre l’équipe du big-5 avec le meilleur bilan (+€ 379 M).

Les clubs de Premier League cassent la tirelire

Lors du dernier mercato, les équipe de la Premier League anglaise ont investi un montant record de €2,6 milliards (bonus compris) pour leurs nouvelles recrues. Au total, les dépenses des clubs du big-5 ont atteint €5,2 milliards pour l’été et €6,2 milliards pour l’année 2022. C’est la deuxième valeur la plus élevée jamais enregistrée, en hausse de 61% par rapport à 2021 et seulement 7% en dessous du record de 2019. Plus de données sont disponibles dans le 77ème Rapport Mensuel de l’Observatoire du football CIES.

Un nouveau record a aussi été enregistré en ce qui concerne la part des indemnités de transfert investies par les équipes de Premier League par rapport aux sommes dépensées par tous les clubs du big-5. D’une moyenne de 38,7% lors de la décennie étudiée, ce pourcentage a atteint un pic de 48,5% en 2022. En dix ans, la Premier League anglaise a cumulé un déficit de €9,5 milliards. La Ligue 1 française se trouve à l’autre extrême (+€350 millions).

Trois clubs français, LOSC Lille (+€379 millions), l’Olympique Lyonnais (+€282 M) et Monaco (+€215 M), sont en tête du classement des équipes actuellement dans le big-5 avec le bilan financier le plus positif sur le marché des transferts depuis 2013. Manchester United est à l’opposé (-€1,27 milliards), suivi par Manchester City (-€902 M) et Paris St-Germain (-€868 M). Sur les 20 équipes actuellement en Ligue 1, seules cinq présentent un bilan financier négatif lors de la dernière décennie.

Tous les rapports de l’Observatoire du football CIES à votre libre disposition ici !

1 | ... | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | ... | 51