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Rapport sur les joueurs les plus sollicités

Le troisième rapport de la série estivale de l’Observatoire du football CIES sur le calendrier des matchs et la charge des joueurs se concentre sur les footballeurs les plus sollicités. Il révèle notamment que, lors des douze dernières années, plus de trois quarts des minutes disputées par les joueurs les plus utilisés mondialement par saison (>4’500 minutes) l’ont été dans des compétitions nationales de clubs (76,3%).

Ce résultat confirme au niveau des footballeurs les plus sollicités la conclusion déjà tirée dans le premier rapport à l’échelle de tous les joueurs : les ligues nationales, plus que tout autre organisateur, ont un rôle dominant dans la structuration du calendrier des matchs. Cette situation n’a que peu évolué au fil du temps (voir aussi deuxième rapport sur les clubs) et les changements apportés dans le format de certaines compétitions n’auront qu’un impact mineur.

Les projections effectuées pour 2024-2028 montrent en effet que, compte-tenu des tendances récentes dans la taille des effectifs, le turnover et le recours aux cinq substitutions, la proportion de footballeurs actifs dans les 40 ligues étudiées qui disputeront plus de 4,500 minutes de jeu officielles par saison (50 matchs entiers) sera légèrement inférieure à celle observée entre 2020 et 2024 : 1.02% comparé à 1.07%.

>>> Troisième rapport sur les joueurs les plus sollicités

>>> Deuxième rapport sur les clubs

>>> Premier rapport sur les organisateurs

Les clubs ne jouent pas plus de matchs par saison

Le deuxième rapport de la Summer Series de l’Observatoire du football CIES sur le calendrier des matchs et la charge des joueurs analyse les tendances dans le nombre de rencontres des clubs dans 40 des ligues les plus compétitives au monde. L’étude révèle notamment que les clubs ne disputent pas plus de matchs par saison, ce qui va à l’encontre de la croyance d’un calendrier de matchs de plus en plus chargé.

Entre 2012 et 2024, le nombre moyen de rencontres par club et saison est resté stable juste au-dessus de 40. Seulement 5% des équipes disputent en moyenne plus de 60 matchs par saison (matchs amicaux non inclus). En remontant encore plus dans le temps jusqu’à la saison 2000/01, ce constat est valable aussi pour les représentants du big-5 en Ligue des champions, avec même une diminution du nombre moyen de matchs officiels lors des trois dernières saisons.

Aucun changement notable n’a été observé non plus à l’échelle globale dans la proportion de clubs jouant 60 matchs ou plus par saison. Les valeurs mesurées lors des deux dernières saisons (3,7% pour 2022/23 et 4,0% pour 2023/24) sont dans ce cas aussi inférieures à la moyenne générale. L’étude présente également des projections pour le prochain cycle de quatre ans, avec les ligues nationales qui continueront à jouer un rôle dominant dans l’organisation des matchs.

>>> Étude complète

Calendrier des matchs et charge des joueurs : premier rapport

Le premier rapport de la Summer Series de l’Observatoire du football sur le calendrier des matchs et la charge des joueurs dans le football masculin analyse les tendances dans le nombre de matchs et de minutes par saison joués lors des douze dernières années par les footballeurs de 40 des meilleures ligues au monde, ainsi que leur distribution selon les organisateurs et des projections pour la période 2024-2028.

Les ligues nationales ont de loin le plus de poids dans l’organisation du football mondial masculin. Entre 2012 et 2024, elles ont organisé 82,2% de toutes les rencontres disputées par les joueurs des 40 ligues analysées. Le deuxième plus grand organisateur, les associations nationales, ont organisé 10,2% des matchs, devant les confédérations (6,7%) et la FIFA (0,9%).

Le principal changement intervenu lors des douze dernières saisons est le renforcement relatif des confédérations, en premier lieu au détriment des associations. Par contre, aucun affaiblissement n’a été constaté au niveau du leadership des ligues nationales sur le calendrier mondial du football masculin. Plus de 80% des minutes jouées par les footballeurs des 40 ligues investiguées lors de chacune des douze saisons étudiées ont été disputées dans des compétitions organisées par les ligues.

Selon les projections élaborées en prenant en compte les nouveaux formats de compétition, les joueurs des ligues analysées disputeront en moyenne le même nombre de minutes et 1,4% plus de matchs toutes compétitions confondues (matchs amicaux de club non inclus) lors des quatre prochaines années par rapport aux quatre dernières. La non-augmentation des minutes s’explique par la règle des cinq changements et les tendances observées en termes de taille des effectifs.

>>> Accédez gratuitement au rapport complet (anglais uniquement)

Calendrier du football masculin

L’Observatoire du football CIES innove avec quatre rapports estivaux sur la question très actuelle de la saturation du calendrier du football masculin. Les études seront publiées à un rythme hebdomadaire à partir de la semaine prochaine, et vont se focaliser sur trois domaines et/ou acteurs impliqués dans l’écosystème du calendrier global du football.

  • Semaine 1 (jusqu’au 12 juillet) – Compétitions
  • Semaine 2 (jusqu’au 19 juillet) – Clubs
  • Semaine 3 (jusqu’au 26 juillet) – Joueurs
  • Semaine 4 (jusqu’au 2 août) – Rapport final et plus d’informations

Les rapports serviront à mieux comprendre les tendances observées lors des douze dernières années en termes du nombre et de la fréquence des rencontres, tant en absolu qu’en fonction des organisateurs (ligues, associations, confédérations, etc.), ainsi qu’en termes de matchs et minutes disputés par les joueurs saison après saison. Ils proposeront aussi une analyse de l’impact des changements prévus dans le format de certaines compétitions (coupes continentales de clubs, coupe du monde des clubs de la FIFA, etc.).

D’autres nouveautés sont d’ores et déjà disponibles sur le site de l’Observatoire du football CIES, notamment les versions améliorées du Transfer Value Tool et de l’Atlas démographique, sans oublier les autres outils exclusivement développés comme l’Atlas des migrations et le Performance Stats Tool.

Euro 2024 : composition des effectifs et favoris

La 468ème Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES analyse sous plusieurs angles les équipes qualifiées pour l’Euro 2024. L’analyse de la compétitivité des effectifs, calculée à partir d’un indice pondérant les minutes disputées par les sélectionnés lors de la dernière année par le niveau sportif de leurs rencontres, pointe l’Allemagne et l’Espagne en tant que favoris.

La France et l’Angleterre sont les deux autres demi-finalistes les plus probables, avec le Portugal juste derrière. Du point de vue de la valeur de transfert des joueurs convoqués, estimée par le biais du modèle statistique de l’Observatoire du football CIES, l’Angleterre (€1,69 milliards) devance la France (€1,41 milliards) et le Portugal (€1,22 milliards). Sur le plan individuel, Jude Bellingham devance le néo-Madrilène Kylian Mbappé et Phil Foden.

La Lettre présente également des données sur la démographie des effectifs. Sur le plan de l’âge, les valeurs s’étendent de 28,8 ans pour l’Écosse à 25,8 ans pour la République tchèque. En ce qui concerne la taille, les extrêmes se situent à 186,5 cm pour la Serbie et 181,6 cm pour l’Espagne. Au niveau de la part de sélectionnés jouant dans des clubs extérieurs au pays représenté, les pourcentages vont de 100% pour le Danemark et l’Albanie à 8% pour l’Angleterre.

Clubs les plus suivis sur les réseaux sociaux

La 467ème Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES présente les 100 clubs au monde avec le plus d’abonnés sur quatre réseaux sociaux : Facebook, X, Instagram et TikTok. Récents vainqueurs de la Ligue des champions de l’UEFA, les Espagnols de Real Madrid sont en tête avec 411 millions de followers, suivis par Barcelone (361 millions) et Manchester United (216 millions).

Quinzième, Al-Nassr de Cristiano Ronaldo est l’équipe non-européenne la plus suivie (54 millions d’abonnés). Les Saoudiens devancent les Brésiliens de Flamengo (aussi 54 millions) et les Égyptiens d’Al-Ahly (51 millions). Cinq clubs de Ligue 1 sont aux cent premiers rangs, avec un trio de tête composé par Paris St-Germain (4ème, 184 millions), Monaco (31ème, 20 millions) et l’OM (33ème, 19,7 millions).

Les plus fortes progressions lors de la dernière année parmi les équipes du top 100 ont été enregistrées pour Real Madrid (+48 millions d’abonnés), Inter Miami (+31 millions), Manchester City (+27 millions) et Al-Nassr de Cristiano Ronaldo (+22 millions). En termes relatifs, l’augmentation la plus notable a été observée pour l’Inter Miami de Lionel Messi (+1’348%).

>>> Toutes les données

Valeurs de transfert : top 100 mondial

L’Anglais Jude Bellingham est actuellement le joueur au monde avec la plus haute valeur sur le marché des transferts. Selon le modèle statistique* de l’Observatoire du football CIES, après une première saison très réussie au Real Madrid, à quelques jours de la finale de la Ligue des champions, son juste prix atteint désormais €280m**. Consultez le top 100 ici.

Le redoutable attaquant de Manchester City Erling Haaland est le deuxième joueur le mieux valorisé (€255m). Le sérial buteur norvégien devance le duo brésilien de Real Madrid Vinícius Júnior (€241m) et Rodrygo Goes (€221m), ainsi que son co-équipier Phil Foden (€204m). Dans le top dix il y a aussi deux joueurs d’Arsenal (Bukayo Saka et Martin Ödegaard), un troisième Citizen (Julián Álvarez), le prodige de Barcelone Lamine Yamal, ainsi que Florian Wirtz de Bayer Leverkusen.

À l’échelle des autres postes, le Suisse de Borussia Dortmund Gregor Kobel est premier parmi les gardiens, le Français d’Arsenal William Saliba parmi les défenseurs centraux, le Croate de Manchester City Joško Gvardiol parmi les défenseurs latéraux et l’Uruguayen de Real Madrid Federico Valverde parmi les milieux défensifs. L’avant-centre portugais de Paris St-Germain Gonçalo Ramos a la plus haute valeur estimée au niveau de la Ligue 1.

* Bâti sur environ 5’500 transferts payants, le modèle statistique de l’Observatoire du football CIES explique plus de 85% des différences dans les prix payés par les clubs sur la base de critères tels que l’âge, la durée de contrat, les minutes de jeu, la part de celles-ci en tant que titulaire, le niveau sportif des matchs disputés, les résultats, la force économique du club et de la ligue d’appartenance, celle des potentiels acheteurs, le niveau d’inflation, etc.

**Les estimations font référence à 100% des droits de transfert, bonus inclus, sans prise en compte d’éventuelles clauses de départ.

Jour de finale : rapport sur le football féminin

Le football féminin poursuit sa croissance et le processus de professionnalisation suit son cours. Bien que toujours comparativement moins disponibles que chez les hommes, des données sur le profil démographique des joueuses sont désormais plus accessibles pour les femmes aussi. Le 96ème Rapport Mensuel de l’Observatoire du football CIES analyse la composition des effectifs de 223 équipes dans 19 ligues à travers le monde : 14 européennes et 5 non-européennes.

Les clubs étudiés ont en moyenne évolué avec des joueuses âgées de 25,2 ans. Les équipes d’Europe du Nord sont les plus axées sur l’utilisation de jeunes footballeuses, alors que deux championnats non-européens sont les plus âgés : le Brasileiro Feminino et la NWLS des États-Unis. Les valeurs pour les deux finalistes de la Ligue des champions de l’UEFA sont de 27,2 ans pour l’Olympique Lyonnais et 25,9 ans pour Barcelone.

Au niveau des origines des expatriées, avec 159 footballeuses évoluant à l’étranger dans les championnats étudiés, les Etats-Unis sont les leaders dans ce domaine. Les Canadiennes et les Suédoises s’exportent aussi en nombre (60 expatriées dans les deux cas). La grande diversité des origines impliquées (97 nationalités) témoigne quant à elle de l’expansion géographique de la pratique du football féminin.

Les clubs des championnats financièrement les mieux dotés tendent à s’appuyer sur des joueuses plus expérimentées, ainsi que sur plus de footballeuses importées de l’étranger. Ceci est notamment le cas de la Women’s Super League anglaise, dont les équipes ont en moyenne évolué avec des joueuses de 28,8 ans et où les expatriées ont disputé 61,3% des minutes. En ce qui concerne ce dernier pourcentage, l’Olympique Lyonnais se situe à 51,1% et Barcelone à 27,3%. Que le meilleur gagne !

>>> Rapport complet

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Gestion durable de l’effectif : Arsenal en tête

Une bonne planification de l’effectif est un atout-clé pour la réussite des clubs. La 465ème Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES classe presque 800 clubs dans 59 ligues à travers le monde selon un indice de continuité prenant en compte la stabilité de l’effectif, sa structure d’âge et la politique contractuelle* afin de révéler les équipes à la fois les plus stables et les mieux préparées à garder un bon niveau de stabilité lors des saisons à venir.

Arsenal est en tête de classement devant une autre équipe anglaise qualifiée pour la prochaine édition de la Ligue des champions, Aston Villa. Les gagnants de la Premier League, Manchester City, sont quatrièmes. Les Allemands de Borussia Mönchengladbach se classent troisièmes, ce qui laisse présager une amélioration des performances après une saison 2023/24 décevante, à condition que le club ne décide pas de chambouler sa politique.

En ce qui concerne la Ligue 1 française, l’indice de continuité le plus élevé a été enregistré pour Toulouse (11ème au total), devant Lens et Monaco. Paris St-Germain est aussi bien classé, ce qui suggère que le club de la capitale s’est bien organisé pour donner de la continuité à son projet malgré le départ de Kylian Mbappé. Les néo-promus d’Auxerre sont en tête de liste au niveau de la Ligue 2, devant les Girondins de Bordeaux, dont les résultats devraient pouvoir s’améliorer la saison prochaine.

La stabilité est mesurée à travers le nombre de joueurs utilisés en championnat lors des trois dernières années, la structure d’âge par le pourcentage de minutes lors de la saison en cours par des joueurs de 31 ans ou plus (sans gardiens) et la politique contractuelle par la part de minutes de joueurs dont le contrat se termine au plus tard fin 2025. L’indice de continuité est la moyenne des trois variables indexées sur base 100 avec le maximum pour la plus faible utilisation de joueurs, de joueurs âgés et de joueurs au contrat court.

>>> Toutes les données

Joueurs les plus impactants de la saison

La 464ème Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES présente les joueurs de champ dont les performances ont été les plus impactantes lors de la saison 2023/24 dans 54 ligues à travers le monde. Le score d’impact a été calculé en prenant en compte les performances dans six domaines de jeu, les minutes disputées en championnat, ainsi que les résultats. La plus haute valeur tous postes confondus a été enregistrée pour l’Espagnol de Manchester City Rodri.

Un autre milieu-de-terrain, le Suisse Granit Xhaka des champions d’Allemagne de Bayer Leverkusen, se classe deuxième. À l’échelle des autres postes, les scores d’impact les plus élevés ont été mesurés pour le Portugais Rúben Dias parmi les défenseurs centraux, son co-équipier Kyle Walker pour les défenseurs latéraux, l’Allemand Florian Wirtz au niveau des milieux offensifs, l’Anglais Bukayo Saka pour les ailiers, ainsi que l’Argentin Lautaro Martínez pour les avants-centres.

En ce qui concerne la Ligue 1, par poste, les plus hautes valeurs d’impact ont été enregistrées pour Wilfried Singo parmi les défenseurs centraux, Achraf Hakimi pour les défenseurs latéraux, Pierre Lees-Melou pour les milieux défensifs, Aleksandr Golovin pour les mileux offensifs, Ousmane Dembélé pour les ailiers, ainsi que Kylian Mbappé pour les avants-centres. Le plus haut score d’impact pour la Ligue 2 a été mesuré pour l’Auxerrois Paul Joly.

>>> Top 100 au total et top 20 par ligue

Rapport migrations : la hausse continue

Le Rapport Mensuel n° 95 de l’Observatoire du football CIES présente les tendances migratoires observées lors des cinq dernières années à l’échelle de 135 ligues masculines réparties entre 88 associations nationales à travers le monde. Un nouveau record dans la présence de footballeurs expatriés a été enregistré en 2024. Depuis 2020, leur nombre a augmenté de presque 20%.

L’importation de joueurs depuis l’étranger est un phénomène touchant désormais un plus grand nombre de clubs et de ligues à travers le monde. La mobilité des joueurs se fait en effet de plus en plus à travers des réseaux de transfert transnationaux, non plus seulement pour les footballeurs les plus talentueux, mais aussi pour les joueurs évoluant à des échelons inférieurs du football professionnel.

Nous observons notamment une intensification des migrations de joueurs d’associations plus compétitives vers des pays footballistiquement moins développés : les Français au Luxembourg et en Suisse, les Argentins au Pérou et au Chili, les Brésiliens en Corée du Sud et aux États-Unis, les Croates en Bosnie, les Anglais en Écosse, les Allemands en Autriche, etc.

Trois pays se détachent en tant que principaux exportateurs de joueurs : le Brésil, la France et l’Argentine. Alors que les Brésiliens restent les plus représentés à l’étranger, lors des cinq dernières années, leur nombre s’est beaucoup moins accru (+86 expatriés) que celui des ressortissants des deux derniers champions du monde : la France (+273) et l’Argentine (+220).

>>> Etude complète

Travail défensif des attaquants : nouvel indicateur

La 463ème Lettre hebdomadaire de l’Observatoire du football CIES classe les joueurs offensifs (ailiers et centre-avants) de 30 ligues à travers le monde selon le volume de travail défensif effectué. Ce dernier a été mesuré à travers un indice* prenant en compte deux variables : la distance parcourue à haute vitesse (>25 km/h) en phase défensive (données SkillCorner) et le nombre de pressions exercées sur les adversaires sans contact physique ni avec la balle (données Wyscout).

Le score le plus élevé dans l’absolu a été enregistré pour l’attaquant sud-coréen Heung-Min Son, avec une valeur particulièrement forte au niveau de la distance couverte à haute vitesse hors possession. Au niveau du big-5 européen, Son devance un autre joueur de Tottenham, Richarlison, ce qui reflète le très grand investissement en termes de travail défensif demandé par l’entraîneur des Spurs Ange Postecoglou aux attaquants, et explique peut-être le fléchissement récent des performances.

Jonathan David (LOSC Lille) est en tête de liste pour la Ligue 1, Johannes Eggestein des probables néo-promus de St. Pauli dans les deuxièmes divisions des pays des ligues du big-5, le Costaricien Manfred Ugalde (Twente, transféré en janvier à Spartak Moscou) au niveau des championnats européens hors big-5, avec la plus haute valeur en absolu en termes de pressions exercées sur les adversaires, ainsi que le Mexicain Ricardo Marín (Chivas Guadalajara) pour les ligues non-européennes analysées.

* L’indice a été calculé sur base 100 à partir de la moyenne des valeurs totalisées sur les deux variables prises en compte, elles-mêmes projetées sur base 100. Seuls les joueurs ayant disputé au moins 1,200 minutes de championnat lors de la saison en cours ont été inclus dans les classements.

>>> Toutes les données

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